Rayon Histoire
Bruxelles fait son cinéma : lieux de tournages, cinémas oubliés, cadres insolites

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 125 pages
Poids : 400 g
Dimensions : 15cm X 21cm
ISBN : 978-2-930427-11-9
EAN : 9782930427119

Bruxelles fait son cinéma

lieux de tournages, cinémas oubliés, cadres insolites


Collection(s) | Bruxelles, ma belle !
Paru le
Broché 125 pages
photographies Laurent Poma
préface Henri Sonet
Tout public

Quatrième de couverture

La plupart des cinéastes belges ont choisi Bruxelles pour cadre de l'un ou l'autre de leurs films. Cela va du précurseur Alfred Machin (Saïda a enlevé Manneken-Pis), bien oublié aujourd'hui, à Alain Berliner (J'aurais voulu être un danseur), sans oublier Benoît Lamy (Home Sweet Home) et tant d'autres.

Mais sait-on que bien des réalisateurs français ont aussi trouvé des charmes à la capitale de l'Europe ? Sinon, pourquoi Chabrol (La Rupture, Le Sang des autres), Leconte (M. Hire), Sautet (Garçon !), Resnais (Providence) ou Bertrand Blier (Préparez vos mouchoirs) auraient-ils tourné tout ou partie de ces films chez nous ?

Et les Américains ? Eux aussi sont venus chez nous ! Blake Edwards opta pour le théâtre de la Monnaie comme cadre de Darting Lili et Fred Schepisi choisit un hôtel de maître près de la Colonne du Congrès pour y diriger Meryl Streep dans Plenty.

Cette «mode» va croissant car, si on a vu toutes les rues de New York, de Londres ou de Paris, celles de Bruxelles restent encore à découvrir pour bon nombre de spectateurs et le mélange architectural de la Ville devient un atout non négligeable pour les réalisateurs. N'oublions pas les studios qui permettent des tournages professionnels et dont se servent de plus en plus de cinéastes tant pour des films (Le petit Nicolas ou Largo Winch II) que pour des téléfilms.

Il était temps de dresser un bilan de ce qui fut tourné à Bruxelles. Soixante films figurent dans Bruxelles fait son cinéma, selon un choix forcément subjectif mais qui tend à montrer la diversité des cadres offerts par la Ville et ses dix-neuf communes.

Biographie

En une quarantaine de livres, Georges Lebouc a surtout abordé les langues qu'il enseigna comme l'italien ou l'espagnol ou qu'il suça avec le lait maternel comme le bruxellois sans oublier le français, langue de ses ancêtres.

Cela a valu une Grammaire de l'espagnol, Les 100 pièges de l'italien, Comment engueuler son prochain en bruxellois ou Parlez-vous le politiquement correct ?

Depuis quelques années, il se consacre surtout à l'histoire anecdotique de Bruxelles, sa ville natale, dans des ouvrages comme Histoire insolite des rues de Bruxelles.

Avec Bruxelles fait son cinéma, il conjugue sa connaissance de la Ville avec une cinéphilie qui l'a conduit à animer de nombreux ciné-clubs, à tourner des courts métrages et à faire de la critique de films pendant près de vingt ans.

Avis des lecteurs

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