Rayon Vie politique
Casamance : récits d'un conflit oublié (1982-2014)

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 302 pages
Poids : 445 g
Dimensions : 16cm X 24cm
ISBN : 978-2-343-05495-7
EAN : 9782343054957

Casamance

récits d'un conflit oublié (1982-2014)


Collection(s) | Etudes africaines
Paru le
Broché 302 pages
préface de Christian Roche
avant-propos d'Assane Seck
Tout public

Quatrième de couverture

Casamance

Récits d'un conflit oublié (1982-2014)

Depuis 2012, les armes se sont à peu près tues en Casamance. Pour être « de basse intensité », ce conflit, dans un pays considéré comme une vitrine de la démocratie, n'en a pas moins été violent. Aux violences accompagnant les affrontements entre maquisards indépendantistes et forces gouvernementales sénégalaises, voire bissau-guinéennes, se sont ajoutées les violences liées aux affrontements entre factions rivales de la rébellion.

Pour la première fois, beaucoup de ceux qui les ont vécues acceptent d'en parler. Ce sont leurs récits, plus de deux cents au total, que René Capain Bassène a méthodiquement recueillis et qu'il nous livre ici à l'état brut. Récits de protagonistes, pour la plupart maquisards ou anciens maquisards. Mais aussi récits de civils, qu'ils soient d'un côté ou de l'autre ou, le plus souvent, « pris entre le marteau et l'enclume ». Les uns et les autres nous plongent au coeur de la violence et nous en font comprendre les logiques, tout en éclairant des épisodes peu ou pas connus de l'histoire de ce conflit oublié.

Biographie

René Capain Bassène est né le 4 décembre 1979 à Bourofaye Diola au Sénégal, un tout petit village situé à quelques kilomètres de la frontière avec la Guinée-Bissau. Journaliste de formation et spécialiste en communication, il a été très tôt marqué par des événements relatifs au conflit casamançais, qui l'ont amené à s'intéresser à cette crise. Il est actuellement basé à Ziguinchor où il occupe le poste de coordonnateur de la cellule communication de l'Agence nationale pour la relance des activités économiques et sociales en Casamance (ANRAC).

Avis des lecteurs