Fiche technique
Format : Cartonné
Nb de pages : 28 pages
Poids : 400 g
Dimensions : 20cm X 28cm
ISBN : 978-2-35972-036-5
EAN : 9782359720365
Chronologie des religions orientales
Quatrième de couverture
Nous ne sommes pas seuls sur terre, si nous prenons le soin de comprendre nos voisins, de connaître leur milieu, leur environnement, nous pourrons mieux saisir leurs problèmes et leur façon de pensée. Nos questions, devant notre présences ici bas, nous conduisent à chercher une explication, un refuge, dans ce que l'on appelle les religions. Si nos ancêtres ont commencé par le Soleil, le Tonnerre...Ils ont évolué vers un Dieu invisible, mystérieux et unique qui gère le monde dans lequel nous vivons. Même les « incroyants » ont trouvé un nom : « Le grand architecte de l'univers ». Je laisse le soin à des savants, philosophes, Einstein, Reeves... plus qualifiés que moi pour donner leurs avis dans ce domaine ; tous ont été prudents. Soyons donc tolérant avec ceux qui ne pensent pas comme nous.
On dit que les Occidentaux sont de plus en plus matérialistes et de moins en moins religieux. Qu'en est-il des Asiatiques ? le bouddhisme se défend d'être une religion, mais s'auto-proclame « philosophie » (n'est-il pas d'ailleurs une religion sans dieu ?), le taoïsme privilégie la méditation dans la nature et la culture physique, les temples confucianistes sont appelés « temples de la Littérature », le zen est une culture qui englobe bien des domaines (art des jardins, théâtre, architecture) et enfin le jaïnisme prône avant tout la non-violence et le détachement des choses de ce monde... Alors, il ne reste que l'hindouisme qui soit une vraie religion ? Toujours pas ! L'hindouisme, dépourvu de hiérarchie ecclésiale, de concile et de dogme, est plutôt une véritable civilisation qui organise la société et donne à chacun son rang social (système des castes). Un de ses courants philosophiques est le « non-dualisme » : chacun de nous, chaque objet n'est qu'une goutte d'eau d'un océan sans limites. Le but ultime est de le comprendre en faisant l'expérience de la fausse dichotomie entre soi et l'univers. C'est l'origine du vaste mouvement (usurpateur ?) New Age. Pourtant, le récent succès de ces philosophies (séduisantes car non contraignantes et non culpabilisantes) en Occident a contribué à donner à nouveau du sens dans la vie de nombreux Européens ou Américains.