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Collégien sous l'Occupation : le mauvais esprit : à partir du journal de Jean Saintive, collégien à Angers de 1939 à 1946

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 137 pages
Poids : 185 g
Dimensions : 15cm X 21cm
ISBN : 978-2-35168-468-9
EAN : 9782351684689

Collégien sous l'Occupation

le mauvais esprit
à partir du journal de Jean Saintive, collégien à Angers de 1939 à 1946


Collection(s) | Mémoire d'encre
Paru le
Broché 137 pages

Quatrième de couverture

Collègien sous l'Occupation

« Le mauvais esprit »

En clin d'oeil à Jean Giraudoux, l'auteur de ce journal, Jean Saintive, alias Jacques Forestier, laisse pour seul indice sur sa véritable identité une simple photo avec au dos un nom : celui d'un collège angevin.

Automne 1939 : c'est l'entrée en sixième, derrière les grilles de Notre-Dame-des-Monts, collège partiellement investi par l'armée française. Hiver 1943 : l'adolescence se joue des contingences ; malgré la présence de l'occupant allemand, amitiés particulières, flirts, premiers émois viennent mêler leur parfum de scandale à cette ambiance confinée. Printemps 1946 : c'est la période trouble de l'Épuration. Le héros, maintenant en classe de philosophie, ne hurle pas avec les loups car pour lui, dans l'histoire, la morale n'est pas sauve.

Un demi-siècle plus tard, Jacques Marzac en retrouve les brouillons, en effectue la transcription et parvient à identifier ce collégien malgré le soin apporté par ce dernier à masquer les noms de lieux et des personnages, bien réels, de ce récit autobiographique.

Biographie

Jacques Marzac est né en 1951 à Chauvigny (Vienne), Enseignant à Poitiers, il se consacre depuis 1993 à la rédaction d'ouvrages d'histoire régionale et de biographies : celle d'un peintre, d'une photographe, d'une déportée de la Seconde Guerre mondiale ou encore du physicien Albert Turpain, précurseur de la radio.
Après avoir également tiré au clair la regrettable Affaire Branly, il rédige ce journal d'un collégien sous l'Occupation qui met en lumière la face cachée de quelques Résistants de la dernière heure, après avoir levé le voile sur les dessous d'une certaine éducation puritaine, tout aussi propres à révolter les « mauvais esprits ».

Avis des lecteurs

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