Fiche technique
Format : Broché
Nb de pages : 111 pages
Poids : 440 g
Dimensions : 17cm X 24cm
ISBN : 978-2-84138-774-8
EAN : 9782841387748
Construire des toilettes sèches à compost
écologiques, économiques et confortables
Quatrième de couverture
Construire des toilettes sèches à compost
En 2010, Patricia Beucher a opté pour les toilettes à compost. Dans un cabanon d'essai, en raison de la vigoureuse opposition de son entourage et de sa répugnance à l'idée de manipuler un récipient plein d'excréments. La magie du compost - aucune odeur, aucun détail visible, un jardin florissant, des citrons maison toute l'année - et la baisse de la facture d'eau, ont convaincu la famille de la bonne affaire. En 2013, s'ensuivit l'installation exclusive d'une méga toilette à vermicompost permettant d'accueillir les invités surprise en toute sérénité et d'arrêter les navettes maison-compost (point faible des petites toilettes sèches).
Ce manuel pratique est né de cette expérience et d'une enquête auprès d'une soixantaine d'usagers, européens, africains, québécois ; ruraux et citadins. Espérons qu'il vous convaincra. Le plus difficile c'est de changer de point de vue. Cela en vaut la peine, ce compost- là peut devenir la base d'une véritable agroécologie bénéfique pour tous, habitants du Sud comme du Nord.
Remplacer l'eau par de la sciure ou des copeaux n'est pas compliqué.
Au quotidien : pas d'odeurs et le silence !
L'entretien ? Avec un format à composteur intégré : presque rien !
C'est dangereux ? De bactérie à virus, en passant par les parasites ; de pesticide à médicament, le compost fait le ménage et transforme un souci en amendement agricole de premier choix. Vous ne savez pas faire de compost ? Prenez un modèle qui le fera tout seul et ne vous en donnera pas si vous n'en voulez pas !
C'est cher ? Si vous êtes un peu bricoleur, pour 55 ? vous avez un trône stylé. Avec 200 ?, à vous le modèle tout confort. Et côté facture d'eau : consommation en baisse de 35 à 50 % !
Une lubie d'écolo rural ? Le méga composteur s'installe en ville car on n'est pas obligé de le vider. C'est l'aubaine des permaculteurs citadins. Les éco-quartiers s'y mettent.
Alors on y va ? Si on veut une planète vivable pour demain, on s'y met tout de suite !