Fiche technique
Format : Broché
Nb de pages : 350 pages
Poids : 358 g
Dimensions : 13cm X 19cm
ISBN : 978-2-348-05474-7
EAN : 9782348054747
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pourquoi nous avons perdu le monde, et comment le retrouver
Les libraires en parlent
Dans le sillage de L'éloge du carburateur, le philosophe mécano Matthew Crawford est de retour avec ce nouvel essai qui interroge l'appauvrissement de notre rapport au monde et la marchandisation de notre attention. A partir d'analyses philosophiques mais aussi de scènes de la vie quotidienne, il propose d'explorer un nouvel engagement avec le réel, plus incarné, pour nous réconcilier avec le monde.
Un essai fantastique et captivant !
Dans le sillage de L'éloge du carburateur, le philosophe mécano Mathew B. Crawford est de retour avec ce nouvel essai qui interroge l'appauvrissement de notre rapport au monde et la marchandisation de notre attention. A partir d'analyses philosophiques mais aussi d'exemples tirés de la vie quotidienne, il propose d'explorer un nouvel engagement avec le réel, plus incarné, pour nous réconcilier avec le monde. Fantastique et captivant !
Quatrième de couverture
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Pourquoi nous avons perdu le monde, et comment le retrouver
Après le succès d'Éloge du carburateur, qui mettait en évidence le rôle fondamental du travail manuel, Matthew B. Crawford s'interroge sur la fragmentation de notre vie mentale. Ombres errantes dans la caverne du virtuel, hédonistes abstraits fuyant les aspérités du monde, nous dérivons à la recherche d'un confort désincarné et d'une autonomie infantile qui nous mettent à la merci des exploiteurs de « temps de cerveau disponible ».
Puisant chez Descartes, Locke, Kant, Heidegger, James ou Merleau-Ponty, le philosophe-mécanicien revisite les relations entre l'esprit et la chair, la perception et l'action, et voit dans les processus mentaux et la virtuosité des cuisiniers, des joueurs de hockey, des pilotes de course ou des facteurs d'orgue des écoles de sagesse, de maîtrise et d'épanouissement. Contre un individualisme sans individus authentiques et une prétendue liberté sans puissance d'agir, il plaide avec brio pour un nouvel engagement avec le réel qui prenne en compte le caractère « incarné » de notre existence et nous réconcilie avec le monde.