Fiche technique
Format : Broché
Nb de pages : 799 pages
Poids : 400 g
Dimensions : 15cm X 23cm
EAN : 9782919885503
Quatrième de couverture
Kamanda est un poète à haute voix, au rire sidéral. Son oeuvre est d'une incontestable originalité.
(Alain Bosquet)
Contes vifs d'humour, de surprise, de poésie. L'on y entend la voix du poète entremêlée de visages, de paysages, de continents à la fois lointains et si proches.
(Andrée Chedid)
C'est sans conteste une grande oeuvre. La langue est nerveuse tout en gardant cette ingénuité, je dirais presque cette naïveté, qui est propre aux récits populaires. C'est là une réussite rare.
(Michel Déon de l'Académie française)
D'une grande originalité, Les Contes de Kamanda sont très intéressants.
Ils nous apprennent beaucoup de choses.
(Eugène Ionesco de l'Académie française)
Kama Sywor Kamanda est un écrivain d'exception et un créateur de génie; son écrit participe d'un arrière-fond poétique puisé aux sources de la culture francophone.
Celles-ci se conjuguent si parfaitement aux pulsions individuelles qu'elles se révèlent formidables potentialités immédiates. Imagination surréelle, souffle et profond rythme conjoints créent le texte de Kama Sywor Kamanda, écrit sans cesse motivé et expansif.
(Mario Luzi)
Il reste que Kamanda apporte du nouveau. Sans doute parce qu'il est bantou et qu'il puise aux sources. Cela dit, il ne s'enferme pas, pour autant, dans son Afrique équatoriale.
Il plonge dans ses forêts, ses fleuves et ses rivières, ses lacs, mais c'est pour voyager et s'ouvrir aux charmes de l'Asie, singulièrement du monde arabe, sans oublier, pour autant, le monde jaune, "couleur de safran"... C'est le monde magique du surréel: celui des miracles, mais aussi des catastrophes. Le monde des fées, mais, le plus souvent, celui des ogres, des sorciers et autres "djinés", comme nous disons au Sénégal.
Cependant, dans Les contes que voici, Kamanda sait être moderne... Ce qui frappe le lecteur, et dès les premiers contes, c'est, outre la maîtrise de la langue française, l'art du conteur parce que du poète.
(Léopold Sédar Senghor de l'Académie française)