Correspondance

Né rue des Arts à Boulogne-Billancourt (Paris) en 1957, Michel Suret-Canale baigne dès son enfance dans un milieu artistique. Sa vocation pour l'art et la peinture en particulier se déclare très tôt, sans doute du fait de son environnement familial. Son grand-père paternel fut graveur et éditeur de médaille (Galerie VS Canale, Quai de l'horloge à Paris), sa grand-mère paternelle fut peintre, comme sa grand-tante ; son oncle Raymond Corbin, membre de l'Académie des Beaux Arts, sculpteur et professeur aux Beaux Arts de Paris habite la maison familiale rue des Arts, son frère aîné est photographe, sa soeur peintre illustratrice, etc.

Aujourd'hui, père de deux enfants, Michel Suret-Canale vit et travaille à Paris Montparnasse où il a son atelier et reçoit les collectionneurs.

Largement diffusé, avec plus de 10 000 oeuvres vendues dans plus de 27 pays, Michel Suret-Canale est présent dans plus de 600 collections privées à travers le monde et dans des collections publiques dont le Musée des Beaux Arts de Niort, et a réalisé des commandes publiques, peintures murales, fresques ou actions artistiques pour diverses municipalités et institutions publiques en province et à Paris.

Il a fait l'objet de différents reportages et passages à la télévision française, sur FR3, au JT de TF1, sur différentes chaînes câblées, et a été l'invité de différentes émissions de radio, sur France Inter, RMC et diverses radios locales. De nombreux articles, publications et mentions dans différents journaux lui ont été consacrés, aux USA dans Business 2.0, Oyster Boy review, en France dans L'Express, le Journal du Dimanche, Le Monde, différentes revues : de Philosophie (Le passant ordinaire), d'esthétique (Esthétique cahiers) et d'informatique (SVM, SVM Mac, Univers Mac).

mais toi
nourris-moi d'éphémère
d'incertitude
d'une parole buissonnière
et de ce bouquet de fleurs vert
qui fait briller tes yeux
longtemps

Correspondance, recueil né d'une rencontre entre le peintre et l'écrivain collectionneur, tisse les échos inversés entre les toiles et les textes qui les illustrent. Et dans ce dialogue intimiste s'entendent les bruits du monde, la couleur vibre de ses douleurs muettes, de ses exils, mais de sa beauté.