Fiche technique
Format : Broché
Nb de pages : 429 pages
Poids : 400 g
Dimensions : 15cm X 21cm
ISBN : 978-2-917579-35-0
EAN : 9782917579350
Quatrième de couverture
Avec son onzième grand roman métaphysique, Dans la forêt de Fontainebleau, Jean Parvulesco parvient à un dangereux paroxysme dans l'exploitation dangereusement opérative de sa propre vision suprahistorique, eschatologique, concernant « la grande histoire » et certaines dimensions occultes, dissimulées, de celle-ci, porteuse comme elle se trouve de la figure transcendantale de l'Imperium grand continental européen.
Or, ainsi que l'établit la plus ancienne tradition occidentale secrète, l'Imperium dépendra, toujours, en dernière analyse, de la situation suprahistorique de la France. Ce qui laisse clairement entendre que, pour sauver l'Imperium, il faudra en tout état de cause commencer par redresser la France. Il faut donc que la France puisse rejoindre, retrouver à nouveau le mystère agissant de sa propre histoire profonde là où celle-ci s'est trouvée subversivement, criminellement interrompue : au moment du meurtre rituel, de la décapitation des derniers bourbons régnants.
Or c'est précisément ce que Jean Parvulesco va montrer dans ce présent roman aboutissant à la forêt de Fontainebleau, où il dévoilera l'inconcevable mystère du fait que Marie-Antoinette et Louis XVII avaient été, en réalité, théurgiquement sauvés de la mort par le comte de Saint-Germain, et préservés dans un état ontologique intérimaire, hors temps, jusqu'à ce que le « jour vienne ». Qui est venu. Quand, à la tête d'une conspiration inconnue, abyssale, ils seront amenés à livrer le « dernier combat », destiné à tout sauver de ce qui avait semblé définitivement perdu. Car, en effet, le jour est venu. Personne ne le sait encore, mais les choses en sont déjà là.
Ce seront donc les enchaînements propres des actions intérieures de cette conspiration salvatrice finale - une contre-conspiration plutôt - qui constitueront la substance vive de ce roman, ses moelles irradiantes, qu'il faudra considérer comme une prise de position décisive pour les futurs combats de la libération de la France et partant de la reconstitution de l'Empire. Que l'on prenne donc garde, ce qui doit venir se trouve déjà là.