Fiche technique
Format : Broché
Nb de pages : 220 pages
Poids : 283 g
Dimensions : 14cm X 22cm
ISBN : 978-2-268-06478-9
EAN : 9782268064789
Dans le coeur de Pablo Picasso
amitié, modèle et passion
Quatrième de couverture
Dans le coeur de Pablo Picasso
Picasso ? Encore ! Oui mais un autre Picasso. Rien à voir avec les habituels règlements de comptes de bonnes femmes... La classe au-dessus.
Raconté par Geneviève, son dernier grand amour, celle qui fit, comme il le lui confia, flamber la dernière bûche. Parmi les innombrables représentations plus ou moins torturées de femmes, le visage de Geneviève seul s'illumine d'un sourire.
Cette place à part, signe d'un amour fulgurant et sans faille, a été remarquée par les organes de presse du monde entier lorsque, entamant, comme elle dit, la dernière ligne droite de son existence, Geneviève a accepté, non sans douleur, de livrer aux enchères ces dessins que Pablo appelait ses lettres d'amour. Elle dévoile les multiples facettes d'un homme souvent calomnié qu'elle a « réhabilité » sur quatre continents, accompagnant inlassablement les expositions de ses portraits. Poétesse illustrée non seulement par Picasso mais par Cocteau et Brayer, elle a fait découvrir au monde un Pablo poète. Amoureuse, elle dévoile un artiste amoureux, parfois timide, parfois grave, souvent joyeux. Avec elle, nous parcourons les méandres de sa pensée, ses réflexions sur son art, la vie, le mystère de ce que les autres appellent le génie.
Ces enchères, elle les narre à sa façon, mêlant l'histoire de ces dessins désormais éparpillés à travers le monde à des confidences sur le quotidien de celui qui « pour être un génie n'en est pas moins un homme ». Nous assistons, faveur insigne, aux échanges avec ses amis qu'elle a la chance de côtoyer : Jean Cocteau, Paul Éluard, Jacques Prévert. Leur quête commune de la connaissance parsème le récit, tels les cailloux du Petit Poucet dans le labyrinthe qu'était Pablo, qu'elle seule nommait ainsi.
Cette femme poète qui dit tout devoir à la nature et aux animaux leur offre les sommes recueillies par la création d'une fondation qui porte son nom sous l'égide de la Fondation de France. Picasso, qui partageait avec elle cet amour, lui pardonnera d'avoir vendu, le coeur en peine, « tes petits dessins, mes lettres d'amour ».