Fiche technique
Format : Broché
Nb de pages : 191 pages
Poids : 356 g
Dimensions : 16cm X 24cm
EAN : 9782729821456
Droit international de l'environnement
Quatrième de couverture
LE DROIT EN QUESTIONS. Poser les bonnes questions, apporter les bonnes réponses, tout l'art du juriste n'est-il pas résumé en ces quelques mots ? Les questions, ce sont aussi des « thèmes » ; ceux dont il est bon de discuter, justement.
Cette collection se veut, s'il se peut, récapitulative. Autour de thèmes d'actualité, sont présentés de manière accessible les enjeux majeurs d'une institution juridique discutée voire discutable. L'étudiant, auquel elle s'adresse en priorité, y trouvera sobrement condensés tous les éléments d'un débat devenu central pour sa formation, quel que soit le domaine du droit qu'il est appelé à fréquenter plus particulièrement.
Face à la débâcle écologique, le droit international de l'environnement (DIE) n'est certes pas un remède miracle mais pourrait-on imaginer aujour-d'hui la protection de l'environnement sans ce droit ?
Comme étudiant, enseignant, chercheur, membre d'association ou tout simplement comme citoyen(ne), n'est-il pas important d'en comprendre les forces et les faiblesses ?
Dans une première partie sont analysés les caractères du DIE : nature, objet, histoire, enjeux, contexte, sources, institutions de ce droit. Dans une seconde partie est analysé le contenu du DIE : les principes, les conventions relatives à l'air et aux climats, aux eaux marines et douces, aux sols et aux forêts, à la conservation mondiale et régionale de la nature, aux produits chimiques et aux déchets dangereux ainsi qu'à la radioactivité, sans oublier des traités qui dans d'autres domaines intéressent le DIE (commerce, désarmement...).
Ce DIE doit être mieux appliqué à travers des moyens juridiques, institutionnels, financiers à tous les niveaux géographiques. Ne doit-il pas être aussi radical et plus global et, si oui, comment ?
Comment situer le DIE par rapport au productivisme qui lui tourne le dos et par rapport au développement durable souvent invoqué ? Dans ce qu'il aurait de plus radical ce droit ne pourrait-il contribuer à une société écologiquement viable ?