Rayon Récits de vie
François Forestier 1940-1945 : premier chef d'état-major de l'Armée secrète

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 232-X pages
Poids : 400 g
Dimensions : 15cm X 21cm
EAN : 9782750403546

François Forestier 1940-1945

premier chef d'état-major de l'Armée secrète


Paru le
Broché 232-X pages
préface Raymond Aubrac
Tout public

Quatrième de couverture

François Forestier traverse l'ensemble de la Résistance. A Paris dès le 11 novembre 1940, puis en zone nord, aux côtés du réseau « Musée de l'Homme », ensuite à « Combat Nord », jusqu'à leur anéantissement auquel il échappe de justesse début 1942. Passé en zone sud, il prend immédiatement les fonctions de responsable militaire du mouvement « Combat », puis de premier chef d'Etat Major de l'Armée secrète jusqu'à son arrestation, le 15 mars 1943. Il est incarcéré à Lyon dans la même cellule que Serge Ravanel, et Raymond Aubrac, qui, avec son épouse Lucie, parvient à le faire évader le 24 mai. Il est évacué trois mois plus tard par avion vers Londres, où, à la demande de Frenay, il dirigera jusqu'en 1945 la « Délégation » des mouvements de résistance, Résistance dont il devient ainsi un porte-parole, et « un observateur privilégié » (H. Noguères), alors même que se mettent en place les acteurs de la Libération.

Biographie

L'auteur : une vie aventureuse conduit son fils, Michel F. Morin, d'Israël aux Caraïbes, de la Guyane aux Balkans, puis à l'Afrique centrale -ou à la Lozère- mais également d'ambassades en préfecture, de la Légion étrangère au ministère de l'intérieur, et aux Nations Unies, où il a été par deux fois chargé de missions de désarmement de milices para-militaires.
Il prend la plume aujourd'hui pour évoquer l'action de son père entre 1940 et 1945, permettant à Raymond Aubrac de prêter à François dans sa préface les mots suivants « « Me voici grâce à la piété filiale, grâce surtout au travail méticuleux de mon fils Michel, qui a su creuser les archives et les souvenirs pour me reconstruire ».
Œuvre de mémoire, retrouvailles, témoignages, reconstruction... Grâce à un ensemble de documents inédits, l'auteur nous livre un témoignage direct sur ces années de feu, tout en dressant un portrait vigoureux de son père, « une personnalité attachante, qui tient sa place dans l'Histoire de la France » (R. Aubrac).

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