Rayon Histoire de la peinture selon les styles et les périodes
Goya, la dernière hypothèse

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 126 pages
Poids : 400 g
Dimensions : 16cm X 22cm
EAN : 9782869412767

Goya, la dernière hypothèse


Collection(s) | Chroniques anachroniques
Paru le
Broché 126 pages

Quatrième de couverture

De 1820 à 1823 - quatre ans avant sa mort - Goya habite la Quinta del Sordo (la Maison du sourd) -, résidence de campagne qu'il peint à fresques. Ces célèbres «peintures noires» mettent-elles fin à son œuvre ? Goya fait-il son testament de peinture ? Il recommence son œuvre par une dernière hypothèse : il accuse les traits, alourdit les masses, obscurcit sa palette ? Goya, pour finir, aggrave son cas.

Rare confession créatrice : «Moi je ne vois que des corps éclairés et d'autres qui ne le sont pas, des plans qui avancent et des plans qui reculent, des reliefs et des enfoncements... Mon pinceau n'y doit voir pas mieux que moi».

Les sujets de peinture désormais nettoyés de tout l'appareil de l'étrange, de leur catalogue de bizarreries. Reste la chose humaine dans son poids ordinaire. Peut-on éclairer un poids ? Des noirs travaillés de lumière. Main de Goya. La chair de la peinture ? La peinture ne cadre plus de personnages : elle est devenue leur chair.

Biographie

Jean Louis Schefer, né à Paris en 1938.

Essayiste. A notamment publié Scénographie d'un tableau (1969), L'Invention du corps chrétien (1975), Le Déluge, la peste, Paolo Uccello (1976), L'Espèce de chose mélancolie (1978), L'Homme ordinaire du cinéma (1980), Le Greco (1988), La Lumière et la table (1995).

Avis des lecteurs

Du même auteur : Jean-Louis Schefer

Le déluge, Paolo Uccello

Carré de ciel

Pour un traité des corps imaginaires

La cause des portraits

Figures peintes : essais sur la peinture

Scénographie d'un tableau

Le sommeil du Greco

L'Homme ordinaire du cinéma

Titina Maselli : trajets lumineux