Fiche technique
Format : Broché
Nb de pages : 342 pages
Poids : 390 g
Dimensions : 14cm X 20cm
ISBN : 979-10-95582-14-4
EAN : 9791095582144
Kinshasa jusqu'au cou
Les libraires en parlent
Après de brillantes études de mathématiques dans une prestigieuse université américaine, Anjan Sundaram se voit proposer un poste chez Goldman Sachs. Il prend, alors, la décision périlleuse de se rendre à Kinshasa (Congo) pour devenir journaliste.
Découvrez ici ses chroniques drôles ou oppressantes, qui offrent un panorama historique et social saisissant du Congo.
Certains livres vous hantent pour toujours et transfroment une partie de votre être .. Kinshasa jusqu'au cou en fait partie et tant mieux. Récit journalistique d'un jeune apprenti, troublant et puissant sur le Congo en 2005/2006 au moment des éléctions présidentielles
Bienvenue en R.D.C dans les pas d'un jeune homme parti se former au journalisme sans autre compétence ni atout que sa curiosité.
Cela ressemble à une fuite en avant. Vers l'ailleurs et l'autre, pour échapper à la fadeur d'une vie pépère-prospère vide de sens. Mais aussi vers le chaos et la fureur d'un pays exsangue et tourmenté.
Fascinant !
Quatrième de couverture
Kinshasa jusqu'au cou
Dans la lignée de Ryszard Kapuscinski et de V. S. Naipaul, Anjan Sundaram raconte une année de quête de vérité, une poursuite effrénée dans un pays ravagé par la misère et les guerres.
Sa route est toute tracée : études de mathématiques dans la prestigieuse université américaine Yale et offre d'emploi chez Goldman Sachs. Un chemin balisé que le jeune Anjan Sundaram décide de quitter en 2005. Il abandonne tout pour plonger dans l'inconnu et prend un aller simple pour la République démocratique du Congo. Il sera désormais reporter. Ou, plutôt, essaiera de le devenir. Car derrière le romantisme de la vie d'aventures, Anjan Sundaram découvre une réalité hostile. De déconvenues en rebondissements, l'apprenti journaliste doit apprendre à survivre dans la jungle urbaine de Kinshasa. Malgré l'euphorie de l'élection présidentielle de 2006 - premières élections libres et démocratiques depuis quarante ans -, la chaleur paralysante est à l'image d'un pays qui suffoque.