L'enfer du jeu

Son style est vif, ses récits prennent aux tripes et ses mots frappent. Robert Morcet et son personnage, Le Celte, donnent à la littérature policière du punch, lui apportent l'authenticité et une parfaite connaissance du milieu et renouvellent le genre du thriller détonant. Accrochez-vous, ça va remuer.

"...Robert Morcet, avec son Celte, renoue avec les héros récurrents d'Auguste Le Breton. Et l'écriture y est digne du maître. Suspense garanti ! Bravo !..."

Alphonse Boudard

<L'Enfer du Jeu> ... Trois hommes ouvrirent la porte de la cage. Pendant que le gagnant, bras levés au-dessus de la tête, quittait l'enceinte sous les hourras, ils posèrent le vaincu sur une civière. Crâne rasé, vêtu d'un tee-shirt rouge moulant une musculature avantageuse, l'animateur annonça le prochain combat : «Il est nouveau. Il s'appelle Le Celte. Il va combattre le plus terrible des fighters, j'ai nommé Djougatchvili, l'Ours de Sibérie ! On prend les paris ! ...»