Rayon Gestion des entreprises
L'histoire secrète d'EADS ou Le syndrome d'Icare

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 219 pages
Poids : 334 g
Dimensions : 16cm X 23cm
ISBN : 978-2-7556-0213-5
EAN : 9782755602135

L'histoire secrète d'EADS ou Le syndrome d'Icare


Paru le
Broché 219 pages

Quatrième de couverture

L'histoire secrète d'EADS ou le syndrome d'Icare

Pour le grand public, E.A.D.S (Européan Aeronautical Defense & Space Company), c'est Airbus et la victoire de l'Europe sur l'américain Boeing, mais E.A.D.S est avant tout une multinationale hautement stratégique.

Pourtant depuis quelques années, le groupe se retrouve à la une des faits-divers, plongée dans les eaux troubles des « affaires ». Quels sont les secrets dissimulés derrière ces quatre lettres ?

Comment en 1998, Lionel Jospin et Dominique Strauss-Kahn ont-ils bradé l'Aerospatiale au bénéfice de Jean-Luc Lagardère ?

Comment l'affaire « Clearstream » née au sein même d'EADS a-t-elle pu faire trembler les plus hauts responsables politiques français, de Dominique de Villepin à Nicolas Sarkozy ?

Pourquoi les somptueuses plus-values réalisées par les actionnaires Lagardère et Daimler risquent-elles de relever du délit d'initié ?

Pourquoi un plan de délocalisation, de restructuration et de suppressions d'emplois chez Airbus alors que cette filiale d'EADS ne s'est jamais aussi bien portée. Est-ce une réponse à l'incurie des dirigeants au détriment des salariés ?

Enfin, E.A.D.S, entreprise d'armement, portait le grand rêve d'une défense Européenne indépendante. Cet espoir s'est-il évanoui ?

Leslie Varenne a enquêté pendant plus d'un an et ouvert la boîte de Pandore. Dans cet ouvrage, elle nous livre les clés d'EADS.

Surprenant !

Biographie

Leslie Varenne est journaliste indépendante, co-auteur avec Philippe Blanchard de Sécurité sociale main basse sur le trou et de Ségolène Royal, reine d'un jour, reine de toujours (Hugo doc).

Avis des lecteurs

Du même auteur : Leslie Varenne

Emmanuel au Sahel : itinéraire d'une défaite

Ségolène : reine d'un jour, reine de toujours ?

Sécurité sociale : main basse sur le trou