Rayon Mémoires, journaux intimes
La vie nous regarde passer : Monette et Jo

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 235 pages
Poids : 224 g
Dimensions : 13cm X 21cm
ISBN : 978-2-246-78508-8
EAN : 9782246785088

La vie nous regarde passer

Monette et Jo


Paru le
Broché 235 pages

Quatrième de couverture

«Je n'ai que faire ici de l'entière vérité. Ce qui m'intéresse, ce sont les lambeaux et bribes déposés en moi au fil du temps, que je manipule à tâtons, que j'examine à l'aveuglette comme au fond d'une crypte.»

La rencontre des parents lors d'un bal de la Victoire, les premières impressions fugitives sous le soleil d'Algérie et de Marseille, les inconstances d'un père, son goût des femmes et des ailleurs, l'adoration d'une mère, le divorce, la dépression...

Dans ce livre où pour la première fois il parle de lui, Georges-Olivier Châteaureynaud exhume d'un passé brumeux des images, des légendes, et c'est toute une mythologie familiale qui se constitue.

Il se souvient.

D'une chambre de bonne perchée au huitième étage. Du nomadisme. De la pauvreté. De Grand-Père, de Tantine, ou du terrible Leturc, l'enfant qui lui apprit à lire.

La vie nous regarde passer, ce sont les années de formation d'un écrivain, c'est une adolescence dans les années 1960. Entre la «vie de café», Mai 68 et les ultimes «Glorieuses», c'est aussi le discret parfum d'une certaine époque, celle des aventures indochinoises et des années algériennes, celle de la France d'après-guerre.

Biographie

Né en 1947 à Paris, Georges-Olivier Châteaureynaud est nouvelliste et romancier. Il a notamment publié, chez Grasset, La Faculté des songes (prix Renaudot 1982), Singe savant tabassé par deux clowns (Bourse Goncourt de la nouvelle, 2005), L'Autre Rive (2007) et Le Corps de l'autre (2010).

Avis des lecteurs

A cause de l'éternité

Ici-bas

Georges-Olivier Châteaureynaud The Messengers

A cause de l'éternité

Nouvelles d'Aubrac

Le Tiroir secret

L'autre rive

Poissons rouges : et autres bêtes aussi féroces

Ce parc dont nous sommes les statues

Armelle ou L'éternel retour