Rayon Policiers (romans ou nouvelles)
Le baron de Santafusca et le curé de Naples

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 225 pages
Poids : 330 g
Dimensions : 15cm X 22cm
ISBN : 979-12-5476-044-4
EAN : 9791254760444

Le baron de Santafusca et le curé de Naples


Collection(s) | Plurabelle
Paru le
Broché 225 pages
traduit de l'italien par H. Declermont et Joséphine Antoine
avec une préface de Bernard Quiriny

Quatrième de couverture

« Mais il sentait déjà qu'il est plus facile de tuer un homme que de tuer un préjugé. »

Naples, fin du XIXe siècle. Pour se tirer d'un mauvais pas, un baron oisif et criblé de dettes trouve un arrangement avec un prêtre qui s'est enrichi grâce à l'usure. Faisant fi de l'idée du bien et du mal, le baron de Santafusca ne recule devant rien, pas même devant le crime. Mais un chapeau, objet compromettant et apparemment indestructible, va le trahir...

Décor de cette intrigue, la volcanique Naples lui donne une couleur particulière, entre déambulations à travers les ruelles bruyantes et discussions cocasses dans les salons de la bonne société.

Le Baron de Santafusca et le Curé de Naples livre une brillante analyse d'un homme aux prises avec un crime presque parfait, embarquant le lecteur dans les méandres d'une intrigue sophistiquée et pleine de rebondissements. Porté par une écriture vive et humoristique, ce roman policier conjugue avec brio la légèreté d'un récit d'époque et la profondeur d'une enquête psychologique.

Biographie

Emilio de Marchi (1851-1901), romancier parmi les plus populaires du XIXe siècle italien, a été influencé par plusieurs traditions littéraires, du courant lombard au vérisme et au naturalisme. Dans ses oeuvres (Demetrio Pianelli, 1890 ; Jacques l'idéaliste, 1897), souvent à la tonalité policière, il s'attache à décrire la société de son époque, et notamment la petite bourgeoisie milanaise.
Le Baron de Santafusca et le Curé de Naples (1888) est considéré comme le premier roman policier italien.
Auteur à la fois raffiné et apprécié du grand public, de Marchi aimait à dire que si « l'Art est chose divine, il n'est pas mauvais de temps à autre d'écrire aussi pour les lecteurs ».

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