Rayon Economie
Le capitalisme, cancer de l'humanité : une économie inhumaine et meurtrière, une société malade, la vie sur Terre en péril

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 431 pages
Poids : 665 g
Dimensions : 16cm X 24cm
ISBN : 978-2-343-07156-5
EAN : 9782343071565

Le capitalisme, cancer de l'humanité

une économie inhumaine et meurtrière, une société malade, la vie sur Terre en péril


Collection(s) | Questions contemporaines
Paru le
Broché 431 pages

Quatrième de couverture

Le capitalisme, cancer de l'humanité

Une économie inhumaine et meurtrière, une société malade, la vie sur Terre en péril

Sur sept milliards d'habitants que compte la planète, 4,5 souffrent de la faim ou sont juste au-dessus du seuil de famine, alors que, parallèlement, 80 milliardaires possèdent, à eux seuls, autant que la moitié de la population terrestre. En 2016, le patrimoine cumulé de 1 % de la population mondiale dépassera celui des 99 % restants, ce qui est sans précédent. Si la crise pèse lourdement sur tous, elle semble au contraire bénéficier aux plus riches et jamais l'inégalité n'a été aussi vertigineuse : aux États-Unis, elle est passée de 1 à 40 après la guerre à 1 à 1 000 ( !) de nos jours.

Si la situation s'améliore dans les pays émergents, les classes moyennes des pays développés sont en voie de paupérisation et la pauvreté s'étend. Jamais la richesse du monde et la productivité du travail n'ont été aussi élevées dans l'histoire, mais seule une petite minorité en profite pleinement, au détriment des autres, car elle détourne et accapare cette richesse, vampirisant l'humanité, qui doit également faire face à des fléaux provoqués par l'avidité de ces parasites et qui mettent en danger l'existence même de la vie sur Terre et celle de l'espèce humaine.

La misère pourrait être éradiquée ; Victor Hugo la considérait déjà comme une anomalie que rien ne justifiait et qui n'existait que pour entretenir l'opulence des plus riches, tant il est vrai qu'une indécente richesse n'est possible qu'au prix d'une indécente pauvreté et inversement. Les pandémies pourraient être vaincues (ce n'est souvent qu'une question de moyens), elles s'aggravent, de même que les tensions internationales (1 750 milliards engloutis en armements dans le monde, en 2014, l'une des raisons pour lesquelles le désarmement est si difficile, car les profits retirés sont gigantesques).

Cette minorité possède tous les pouvoirs : économique, médiatique, politique - qu'ils soient étiquetés de droite ou de « gauche », les « partis de gouvernement » sont tous convertis aux dogmes néolibéraux et pratiquent en fait la même politique, une fois aux commandes.

La société est malade, le chômage s'étend, mais on persiste à ne pas diminuer la durée de la vie active et de la semaine de travail, ce que l'on faisait jadis. Le capitalisme, car c'est de cela qu'il s'agit en fait, devenu fou, est de plus en plus sévèrement mis en accusation, y compris par les plus hautes autorités religieuses. Un autre univers, plus humain, plus juste, est pourtant possible, pour le bien de l'immense majorité (comme le montrent des prix Nobel d'économie), il n'est que temps de travailler à son avènement, bientôt il sera trop tard, et les dommages seront devenus irréversibles.

Biographie

Georges Kornheiser, né dans un milieu modeste, sait de quoi il parle quand il évoque la pauvreté. Professeur d'histoire retraité, il s'est consacré à l'écriture, après son départ à la retraite. Il est membre de la Société des gens de lettres, du Pen club français, de la Société des poètes français. Son premier ouvrage Les souvenirs galants du marquis de V... a été publié par le Mercure de France et par Le grand livre du mois. Il est également lauréat de plusieurs concours de poésie auxquels il a participé, et du prix Karatson, récompensant ses traductions de grands poètes hongrois. Le présent ouvrage, fruit de plusieurs années de travail, et appuyé sur des faits et des chiffres irréfutables, a été écrit sous l'emprise de l'indignation et s'adresse à tous les hommes et les femmes de bonne volonté, dans l'espoir que cela les incitera à réagir avant qu'il ne soit trop tard.

Avis des lecteurs

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