Rayon Criminalité
Le clan des Marseillais : des nervis aux parrains, 1900-1988

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 260 pages
Poids : 420 g
Dimensions : 15cm X 24cm
EAN : 9782845212633

Le clan des Marseillais

des nervis aux parrains, 1900-1988


Collection(s) | Temps romanesque
Paru le
Broché 260 pages
préface Raoul Bottaï
Tout public

Quatrième de couverture

Le Clan des Marseillais explore l'histoire du Milieu depuis les bandes de nervis de la Belle Époque jusqu'aux «parrains» tels Zampa, les frères Guérini ou Francis le Belge. Organisation de la traite des Blanches vers les Amériques, attaque du Train de l'Or, contrebande de cigarettes et règlements de comptes, ascension fulgurante de Carbone et Spirito... Sans oublier les plus souriants «Gangsters de la Pétanque», qui plumèrent tant de pigeons trop sûrs d'eux.

Rien ne manque dans cet ouvrage. La singulière figure de Robert Blémant, flic brillant passé au Milieu, qu'Antoine Guérini fit exécuter par jalousie, côtoie d'anonymes «chimistes» qui produisaient à Marseille la «poudre» la plus pure du monde et des souteneurs en retraite toujours nostalgiques des «maisons» fermées par Marthe Richard.

Le Clan des Marseillais est considéré comme l'ouvrage le plus véridique, car le mieux documenté, sur le Milieu. Le rééditer répond à une attente de tous ceux qui souhaitent connaître, loin des clichés traditionnels du «Chicago français», cet État qui fonctionna longtemps selon des règles et des codes stricts, précisément établis.

Biographie

Jean Bazal fut un des meilleurs historiens de la pègre marseillaise.

Journaliste d'investigation spécialisé dans le grand banditisme, il sut nouer des contacts des deux côtés de la barrière et recueillit des confidences inédites sur les plus gros «coups» d'une époque fertile en «casses» célèbres - le vol des bijoux de la Bégum pour n'en citer qu'un.

Rien ne manque dans cet ouvrage. La singulière figure de Robert Blémant, flic brillant passé au Milieu, qu'Antoine Guérini fit exécuter par jalousie, côtoie d'anonymes «chimistes» qui produisaient à Marseille la «poudre» la plus pure du monde et des souteneurs en retraite toujours nostalgiques des «maisons» fermées par Marthe Richard.

Avis des lecteurs

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