Rayon Essais
Le goût de la conversation

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 201 pages
Poids : 290 g
Dimensions : 15cm X 21cm
EAN : 9782220053691

Le goût de la conversation


Paru le
Broché 201 pages

Quatrième de couverture

La conversation n'est pas seulement un passe-temps agréable destiné à nous délasser du travail ou à nous divertir de nos tracas, mais tout autant une occasion d'entrelacer notre existence à d'autres que nous, en toute liberté et selon notre humeur. Nous y découvrons notre capacité à plaire, et aussi à savoir écouter.

Mais alors, comment la distinguer du dialogue ou de l'entretien ? La correspondance et la causerie ne sont-elles pas des formes plus achevées de la conversation ? Pouvons-nous converser avec Dieu, avec les poètes disparus, entre amoureux, et dans quelles conditions ? A quels signes reconnaître l'horrible bavardage ? Comment éloigner les goujats, les fâcheux, les êtres suffisants qui, dans leur complétude, n'ont rien à attendre de nous, les ironistes aussi, à la froideur dérangeante ?

Dans cette satire joyeuse de nos temps de «communication», Pierre Sansot poursuit son projet singulier, récemment marqué par un Bon usage de la lenteur, de la marche ou de la séduction. De cette conversation ordinaire qui n'est pas l'apanage de quelques nantis, nul n'est exclu, à condition d'apporter son écot, en l'occurrence des phrases, des pensées, des élans de l'esprit qui lui appartiennent en propre.

Biographie

Pierre Sansot est l'auteur de nombreux ouvrages, parmi lesquels : Poétique de la ville, Klincksieck, 1973 ; Cahiers d'enfrance, Champ Vallon, 1990 ; Les Gens de peu, PUF, 1992 ; Du bon usage de la lenteur, Payot, 1998 ; Chemins au vent, Payot, 2000 et J'ai renoncé à vous séduire, Desclée de Brouwer, 2002.

Avis des lecteurs

Du même auteur : Pierre Sansot

La France sensible

Du bon usage de la lenteur

Les gens de peu

Poétique de la ville

Paysages de l'existence : essais

Ce qu'il reste

Les pilleurs d'ombres

Cahiers d'enfrance

Les vieux ça ne devrait jamais devenir vieux

La marginalité urbaine