Rayon Economie et administration du travail
Le stable, l'instable et le changement dans le travail : séminaire Paris 1, 23-25 mai 2005

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 135 pages
Poids : 260 g
Dimensions : 17cm X 24cm
EAN : 9782915346367

Le stable, l'instable et le changement dans le travail

séminaire Paris 1, 23-25 mai 2005


Collection(s) | Le travail en débats
Paru le
Broché 135 pages

Quatrième de couverture

Le département Ergonomie et Écologie humaine de l'Université Paris 1 organise chaque année, depuis une vingtaine d'années, un séminaire rassemblant, chercheurs, universitaires et praticiens (consultants ou internes), de compétences multiples (économie, gestion, ingénierie, médecine, psychologie, ergonomie), sur un thème suffisamment « polémique » pour nourrir la controverse. L'enjeu est de permettre à chaque point de vue de s'approfondir en se confrontant et d'affiner ainsi sa capacité à coopérer dans des démarches d'intervention capables de répondre à hauteur des questions complexes que posent les projets dans les organisations modernes. Vu sous l'angle qui fédère ces rencontres, l'ergonomie, l'enjeu est donc de développer en des termes adaptés à la commande sociale, économique et politique d'intervention dans ces projets, la contribution du travail tant à la santé des personnes qu'à l'efficacité des organisations.

Le séminaire 2005 a pour thème

Le stable, l'instable et le changement dans le travail

Le discours ambiant est au changement. Mais tout doit-il changer, et tout change-t-il vraiment, dans le travail ? Et n'est-il pas en cause, aussi, de changer le changement, dans ses raisons, dans son « pilotage », dans ses méthodes, son management, son évaluation ?

Peut-on déceler une direction du changement dans les organisations - une progression dans la réalisation d'une intention -, ou plutôt une profusion des changements qu'aucune forme ne relie ? Quelle est l'influence des institutions et des changements institutionnels sur ces évolutions du travail ? Observe-t-on l'émergence de nouvelles normes du travail, ou au contraire une prolifération des formes du rapport subjectif au travail et du dispositif organisationnel qui le prend en charge ? Entre l'espace subjectif et l'espace économique, y a-t-il stabilité des registres, instabilisation, changement ? Face à ces évolutions, comment évolue la réponse des « métiers du changement » (consultants, cadres...) ? En termes d'ambition, de méthode, d'organisation, de compétence ?

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