Fiche technique
Format : Broché
Nb de pages : 166 pages
Poids : 380 g
Dimensions : 17cm X 25cm
ISBN : 978-2-8240-0886-8
EAN : 9782824008868
Le triptyque
le ciel, l'océan, la forêt
poèmes de la Côte d'Argent, édition originale de 1922
Quatrième de couverture
Le ciel - L'océan - La forêt
Le triptyque
Poèmes de la Côte d'Argent
Le Triptyque est considéré comme une des productions les plus belles et les plus sincères de la vaillante pensée régionaliste, parmi celles parues depuis de nombreuses années. D'aucuns disent même la plus belle [...] Jadis, nous avons parcouru avec Maurice Martin, sac au dos, le bourdon du pèlerin en main, ces troublantes régions quasi inexplorées du littoral de Gascogne, que sa muse a chantées avec tant d'émotion et d'enthousiasme. [...] Heures d'inoubliables contemplations dans la magie des forêts pensives et des étangs mystiques, sous l'enveloppement des visions les plus exotiques, sans doute, que notre vieille Gaule réserve aux fervents de la Nature... (extrait de la présentation de l'édition définitive de 1923).
« ...Maurice Martin, lui, n'avait pas attendu cette mode littéraire pour regarder les Landes, les admirer, les aimer. Il les parcourt depuis quarante ans. Il est devenu leur parrain attentif et affectionné. C'est lui, nul ne l'ignore, qui donna le nom de Côte d'Argent à ce coin de France qui se situe entre l'embouchure de la Gironde et celle de la Bidassoa. Et pour cette belle filleule, il a noblement bataillé. Il l'a d'abord célébrée en prose, et voici que, pour l'amour d'elle, il hausse le ton et s'exprime en vers. Connaissant à fond les divers aspects de ce pays, il nous les montre tour à tour et leur consacre des strophes émues. Rien n'est oublié dans ses louanges, ni les pins, ni les lettes, ni les étangs, ni les dunes. Il dit les ajoncs et les fougères, les cigales et les palombes. Il décrit le bros et le hapchott. Il s'enthousiasme pour le fleuve et s'attendrit sur le ruisseau. Il énumère les fastes de Biarritz et d'Arcachon, les agréments d'Hossegor et de Moliets... (extrait de la Préface de Jean Rameau).