Fiche technique
Format : Broché
Nb de pages : 161 pages
Poids : 200 g
Dimensions : 16cm X 24cm
ISBN : 979-10-92950-09-0
EAN : 9791092950090
Les géométries d'Italo Calvino
Quatrième de couverture
Selon Luca Fucini, les Calvino - GioBernardo, son frère GioBatta et son fils Mario - furent animés par les principes de leur époque, adoptés dans les loges maçonniques : « auto-éducation pour faire évoluer les grandes masses, par l'enseignement et sens du devoir ».
Admirant les symboles initiatiques gravés sur la porte et peints sur la voûte de leur villa de Sanremo, Italo Calvino apprit également à être un « homme libre », comme il l'écrivit en 1957 dans sa lettre de démission du parti communiste italien qu'il envoya à regret mais de façon assumée.
Avec ses ouvrages, il continua l'oeuvre paternelle : « Je sais que souvent je parlerai au vent. Mais les plantes aussi confient au vent leurs graines, comme le but suprême de leur vie. Toutes les graines ne seront pas dispersées, il suffira qu'une seule trouve le bon environnement pour assurer et multiplier son espèce ».
Si l'Italie avait davantage cru dans ce message, aujourd'hui elle serait moins essoufflée. Elle pourrait compter sur une agriculture à l'avant-garde et sur un tourisme de haut niveau, sur la science et sur l'éducation.
Mais il n'est jamais trop tard pour reprendre « le chemin de Saint Jean ».
Come scrive Luca Fucini, i Calvino - GioBernardo, suo fratello GioBatta e suo figlio Mario - furono animati dai principi all'epoca coltivati nelle logge massoniche : « autoeducazione per far progredire le grandi masse, con insegnamento e senso del dovere ».
Contemplando i simboli iniziatici incisi sulla porta e dipinti sulla volta della villa sanremasca, anche Italo apprese a essere « uomo libero », come nel 1957 scrisse nella sofferta ma ferma lettera di congedo dal partito comunista italiano.
Con le sue opere continuò l'opera paterna : « So che più spesso parlerò al vento. Ma anche le piante affidano al vento i loro semi, supremo scopo della loro vita. Non tutti i semi saranno dispersi, basta che uno solo trovi un ambiente propizio per assicurare e moltiplicare la specie ».
Se l'Italia avesse creduto di più in quel messaggio oggi sarebbe meno affannata. Conterebbe su un'agricoltura di avanguardia e su un turismo di alta qualità, su scienza ed educazione.
Ma non è mai tardi per riprendere « la strada di San Giovanni ».