Fiche technique
Format : Broché
Nb de pages : 306 pages
Poids : 358 g
Dimensions : 14cm X 22cm
ISBN : 978-2-7103-7251-6
EAN : 9782710372516
Les révolutions de Bella Casey
Quatrième de couverture
Les révolutions de Bella Casey
Bella Casey, aînée d'une fratrie protestante irlandaise, a tôt fait de comprendre que l'étude est le meilleur moyen de s'arracher à son sort en cette fin de dix-neuvième siècle. La musique, la littérature, l'école normale - autant d'échappatoires pour cette jeune fille intelligente et ambitieuse qui doit faire fi des brimades de sa mère. La future institutrice a d'humbles projets : épouser un homme attentionné, avoir des enfants, préserver le lien avec son petit frère Jack, le miraculé. Mais la vie n'est pas toujours comme on l'espère. Devenue la proie du révérend Leeper, directeur de l'école dans laquelle elle exerce, Bella doit trouver un mari au plus vite. Le clairon Mick Beaver semble correspondre aux critères, et elle croit avoir échappé à l'infamie. C'est méconnaître la dure condition de femme de soldat, dans une situation politique et sociale tendue à la veille de la révolution irlandaise. Lorsque, en pleine Insurrection de Pâques 1916, elle tombe sur un piano abandonné dans une rue de Dublin, elle n'a qu'une idée: remporter chez elle.
C'est le point de départ que choisit Mary Morrissy pour raconter la vie romancée de l'énigmatique soeur de l'écrivain et dramaturge Seán O'Casey, fervent défenseur de la culture gaélique.
Les révolutions de Bella Casey
« Beau et captivant, non pas une simple reconstitution historique mais un roman qui résonne singulièrement avec notre époque contemporaine. » Joseph O'Connor
« Élégant et dépouillé en même temps. Le portrait intime d'une femme et une fresque de l'Irlande à un moment crucial de son histoire... Un roman remarquable. » Colum McCann
« Mary Morrissy a un don pour faire ressurgir des coulisses de l'histoire des personnages que sa plume rend éclatants. Dans Les Révolutions de Bella Casey, elle évoque le Dublin bigarré des pièces de Seán O'Casey. » John Banville