Rayon Histoire de la peinture selon les styles et les périodes
Maîtres vénitiens et flamands : Bellini, Titien, Canaletto, Van Eyck, Bouts, Jordaens... : chefs-d'oeuvre de l'Accademia Carrara de Bergame et du Musée royal des beaux-arts d'Anvers

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 219 pages
Poids : 1150 g
Dimensions : 23cm X 28cm
ISBN : 978-88-366-1860-6
EAN : 9788836618606

Maîtres vénitiens et flamands

Bellini, Titien, Canaletto, Van Eyck, Bouts, Jordaens...
chefs-d'oeuvre de l'Accademia Carrara de Bergame et du Musée royal des beaux-arts d'Anvers


Paru le
Broché 219 pages

Quatrième de couverture

L'exposition Maîtres flamands et vénitiens (Palais des Beaux-Arts de Bruxelles) réunit une cinquantaine d'oeuvres issues de la collection de l'Accademia Carrara de Bergame, seize pièces maîtresses provenant du Musée Royal des Beaux-Arts d'Anvers, ainsi qu'un chef-d'oeuvre exceptionnel de Lorenzo Lotto de l'église de Sant'Alessandro in Colonna à Bergame. Ce choix permet de parcourir quatre siècles de peinture européenne et de révéler la réciprocité des influences entre Anvers et Venise.

Le présent catalogue propose un parcours chronologique du XVe au XVIIIe siècle : quatre chapitres pour quatre siècles, à travers quatre angles, à savoir le portrait au Quattrocento, les paysages et la dévotion au Cinquecento, le sacré et le profane au Seicento et les vues panoramiques au Settecento. Nous voyons ainsi Pisanello confronté à un autre maître tel que Rogier van der Weyden, ou encore Giovanni Bellini à Jan van Eyck, qui par ailleurs enchante les collègues vénitiens par son attention au détail. Les Vénitiens s'émancipent au cours du siècle suivant de la technique des Primitifs flamands, voyant Titien, le Tintoret et Véronèse faire exploser la couleur. Rubens déteindra quant à lui sur Tiepolo et enfin, au XVIIIe siècle, les vues de Canaletto capturent une Venise sur son déclin, tandis que les scènes pittoresques de Guardi rappellent la démesure de Jordaens.

Si d'autres régions d'Italie ont pu nouer de tels liens avec ces écoles du Nord, seule Venise pouvait se vanter de points de contacts aussi nombreux que réguliers et sur une période aussi longue.

Avis des lecteurs