Fiche technique
Format : Cartonné
Nb de pages : 120 pages
Poids : 365 g
Dimensions : 16cm X 22cm
EAN : 9782914401173
Pablo
le conte de fées continue
Quatrième de couverture
Une bonne claque à tout ce qui pue la morale, le fric et les fachos poussiéreux.
La Faille (le bimestriel anarchiste)
Son amie la poof est noire de noire, noire d'images, noire de ton. On y retrouve la pénombre de certains polars à la Jean-Claude Izzo. Et même s'il n'est pas pour autant nécessaire de la mettre entre toutes les mains ou de l'offrir au petit dernier pour sa communion, les dessins n'en sont pas moins précis et les dialogues incisifs.
Le Progrès (le quotidien pas anarchiste)
Si cette BD n'a pas de couleur, elle ne manque pas de rondeurs. Dans cette ambiance de polar de gare on trouve pêle-mêle tous les pièges tendus aux paumés du petit matin, la dure loi du milieu, les agissements d'une mafia de l'ombre, mais aussi cette entraide et cette générosité gratuite qui peut animer ces laissés pour compte de la société moderne.
Le Dauphiné Libéré (le quotidien pas anarchiste du tout)
Une BD noire, sombre et ténébreuse au dessin de toute beauté où paysages embrumés, profondeur de champ admirablement maitrisée, flous et precision des expressions sont simplement et efficacement sublimes.
Le Figaro (le quotidien pas du tout, mais alors, pas du tout anarchiste du tout)
Imaginez un film d'Audiard revisité façon La haine, adapté en BD : Mon amie la poof est dans cet esprit, plein de fureur et de bonne humeur à la fois. Un polar "coup de poing".
La Lettre (l'officiel de la BD)
Un récit attachant et pourtant très noir. On pense à Ravalec. Le dessin cartoonesque se marie originalement à cette chronique aux accents de polar. L'auteur arrive à rendre touchants des personnages a priori détestables et nous fait partager sa vision d'une France dans laquelle toutes les origines ethniques sont traitées à part égale. Une ambiance faite de violence, de sexe et de drogue mais qui évite judicieusement tous les poncifs du genre. L'attachement d'Efix à ses personnages et ses qualités de scénariste y sont pour beaucoup.
Le Petit Bulletin (l'hebdomadaire des spectacles)
Efix confirme avec ce one-shot simple et touchant l'énorme potentiel de son style très personnel et déjà immédiatement reconnaissable.
Canal BD (le magazine de BD/à propos de K)
Prenez un trait tout rond, tout chaud, qui ferait sans doute le bonheur d'un studio de petits mickeys bien propres sur eux, shootez-le jusqu'à l'overdose à je ne sais quoi de pas racontable, ajoutez un amour immodéré, jubilatoire pour le parler Tontons flingueurs et laissez l'artiste délirer en noir, blanc et gris. Vous obtiendrez Pablo, BD hors normes pétante de santé et de désespoir. Du rare.
BoDoï (le mensuel de BD)
Votre amie la poof est tout simplement super !
Roman Polanski (le filmeur de bons films)
J'ai lu ta BD et c'était dans le train, mais un train qui vole et qui atterrit à Orly. C'était vachement bravo. Accepte en cadeau mon amitié avec admiration.
Marina Foïs (la remonteuse de moral)
Je ne suis pas spécialiste de la BD, mais votre poof m'est très sympathique.
Line Renaud (la mamie de rêve)
Dis donc, j'étais en train de faire du rangement sur mon bureau, alors avant de la jeter, je voulais juste te dire que j'ai trouvé ta BD excellente, vraiment. J'ai passé un bon moment, alors merci.
Jan Kounen (le cinéaste animalier)
J'apprécie tout particulièrement la joie, l'humour et la modestie de votre travail, camarade !
Benoît Poelvoorde (le modeste artisan)
Ca cartonne, ce machin. Je veux absolument lire les suivants, hein !? Faudra pas me faire faux bond. Et sinon, vous avez jamais pensé en faire un film ? Un truc bien noir avec du cul, de l'action et tout ça ...
Guillaume Depardieu (l'électron libre)
Je trouve que vous avez du talent et votre poof est très attachante.
Agnès Jaoui (la tête dans le coeur)
Tu aurais dû me dire, on aurait engagé Liv dans les Bricol'girls ! Noublie pas de m'envoyer la suite ... Longue vie à ta poof et mes amitiés à Ivan.
Alain Chabat (le parfait touche à tout)
Elle m'a chourave ma robe, non ?
Sissi (l'impératrice)
Je t'aime.
Natacha (pas l'hôtesse de l'air)
C'est nul cette jaquette ! Elle te plaît pas ma couverture ? Ca y est, tu fais dans le commercial ?
Luc Serrano (concepteur des couvertures)