Rayon Universités et grandes écoles
Mourad Ben Turkia : un proscrit dans la République de Ben Ali

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 318 pages
Poids : 510 g
Dimensions : 16cm X 24cm
ISBN : 978-2-343-02367-0
EAN : 9782343023670

Mourad Ben Turkia

un proscrit dans la République de Ben Ali


Paru le
Broché 318 pages
préface du professeur Pascal Chaigneau
Public motivé

Quatrième de couverture

Mourad Ben Turkia un proscrit dans la République de Ben Ali

Fondateur, en 1993, de l'Université arabe privée des sciences (UAS) et du Groupe de l'éducation et des sciences, Mourad Ben Turkia est docteur d'Etat de l'université Paris I Panthéon-Sorbonne où il a régulièrement enseigné.

Scolarisé à Kélibia, sa ville natale, jusqu'en 6e, il termina son cursus universitaire tunisien avec une maîtrise en gestion (qui lui valut le Prix présidentiel). Il poursuivit ses études à Paris de 1978 à 1982 où il obtint trois diplômes, dont, en Sorbonne, un doctorat d'État en sciences de gestion.

Il s'agit donc, à bien des égards, d'une carrière exceptionnelle marquée par l'édification d'une université qui ne l'est pas moins.

Un tel succès ne passa pas inaperçu sous le régime du Président tunisien Ben Ali qui se mit en tête de faire sienne cette grande réalisation, aidé en cela par sa belle-famille et certains de ses proches.

Ce livre raconte tous les stratagèmes mis en oeuvre par le Pouvoir de l'époque pour atteindre ce but, fut-ce au prix de la santé de Mourad Ben Turkia, interdit de soins à l'étranger.

Il faudra attendre la Révolution pour que tout se dénoue et que force reste à la loi.

Biographie

Professeur émérite de l'université Paris Descartes, Edmond Jouve a effectué une trentaine de missions d'enseignement en Tunisie.
Infatigable militant des droits de l'Homme et des Peuples, il a déployé, à la tête d'une équipe, une très grande énergie pour essayer de sauver le professeur Mourad Ben Turkia des griffes de la dictature.
La Révolution tunisienne a permis un dénouement heureux de cette pénible affaire dont le dossier illustre le ténébreux passif du défunt régime.

Avis des lecteurs

Du même auteur : Edmond Jouve