Nicolas Bonaparte

« Cheveux bruns, yeux bleus, un mètre soixante-huit, voilà ce qui pourrait figurer sur la carte d'identité de Bonaparte aujourd'hui. Signe particulier : il est affecté d'un tic peu courant. En effet, lorsque Napoléon est agité ou en colère, son épaule se contracte et se soulève indépendamment de sa volonté ».

Intrigué par ces ressemblances physiques, Hubert de Saint-Jean entreprend alors une recherche sur le Président de la République et le Premier Consul afin de répondre à cette question : Existe-t-il réellement des points communs entre Nicolas Sarkozy et Napoléon Bonaparte, tant sur le plan de la vie privée que sur le plan politique ?

Les résultats sont stupéfiants. Plus de soixante éléments de comparaison entre les deux personnages peuvent être identifiés.

Afin de laisser le lecteur libre de faire lui-même les rapprochements, le livre est volontairement conçu comme un jeu de miroirs. Côté gauche Napoléon Bonaparte, côté droit Nicolas Sarkozy.

C'est aussi une sorte jeu de pisté car les points communs sont autant de petits cailloux blancs que l'auteur a semés en chemin et que le lecteur peut suivre tout au long du livre.

Enfin, il était tentant, dans un genre de science-fiction politique de poursuivre le parallèle en répondant à cette interrogation : Quel pourrait être le destin du Président de la République dans le monde bouleversé que nous connaissons aujourd'hui ?

Ainsi, « Nicolas Bonaparte » se lit comme un thriller politique.