Rayon Révolution française
Notre-Dame de Thermidor : histoire de madame Tallien

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 237 pages
Poids : 384 g
Dimensions : 16cm X 24cm
ISBN : 979-10-90134-07-2
EAN : 9791090134072

Notre-Dame de Thermidor

histoire de madame Tallien


Collection(s) | Biographies
Paru le
Broché 237 pages

Quatrième de couverture

Les destins des personnages de ce livre sont rocambolesques. Autant celui de Térézia Cabarrus que celui de Jean Lambert Tallien.

La première aura été successivement marquise de Fontenay, madame Tallien et enfin Princesse de Chimay. Entre temps, elle aura vécu plusieurs années avec Ouvrard, financier de l'empereur.

Le second aura été ouvrier d'imprimerie, journaliste, conventionnel ardent appartenant au parti de la Montagne et finalement auteur du coup d'état du 9 thermidor, qui exécuta Robespierre et ses amis et mit fin à la Terreur.

Robespierre avait fait interner Térézia Cabarrus qui se trouvait menacée de la peine de mort, et Tallien était son amant depuis leur rencontre à Bordeaux.

Arsène Houssaye nous raconte ce roman vrai qui est en même temps l'histoire en mouvement. Il peint une grande fresque de l'époque révolutionnaire, de sa politique, de ses moeurs et de sa folie. Il nous entraîne de façon étourdissante dans cette fin du 18ème siècle où la Révolution se fait, se défait et se refait sans jamais s'arrêter.

Biographie

Auteur prolifique, très lié au monde du théâtre et de la littérature Arsène Houssaye, (1815 -1896), fut entre autres administrateur général de la Comédie-Française, où il fit entrer les pièces de Victor Hugo, de Dumas père et d'Alfred de Musset.
Nommé en 1857 inspecteur des musées de province, il devint directeur, en 1866, de la Revue du XIXe siècle. Après 1870, il fonda La Galette de Paris puis La Revue de Paris et de Saint-Pétersbourg. En 1884, il fut président de la Société des gens de lettres.
Il a publié de nombreux ouvrages : romans, pièces de théâtre, poésie, essais d'histoire de l'art et de critique, souvenirs.
Émile Zola, qui fréquenta les « mardis » de Houssaye avenue de Friedland, l'appela, dans l'éloge funèbre qu'il prononça lors de ses obsèques le 29 février 1896 : « Un des derniers grands chênes de la forêt romantique. »

Avis des lecteurs

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