Christian Bulting est né en 1953 à Guérande
(44). Professeur de philosophie dans un lycée agricole,
il vit à Orvault près de Nantes. En 1979, il fonde la
revue et les éditions À contre-silence (54 publications
entre 1979 et 2000).
En 2011, il obtient le Prix de Poésie de l'Académie
de Bretagne et des Pays de la Loire pour l'ensemble
de son oeuvre.
Il participe à différentes institutions poétiques :
la Demeure de René Guy Cadou (président de
1992 à 1994), la Maison de la poésie de Nantes
(secrétaire de 2001 à 2004).
Il a publié 19 livres.
Dernières publications :
La poésie de Daniel Biga (anthologie), Gros
Textes, 2006
Avec ton corps, Petit véhicule, 2006
Vieux bluesmen, Gros Textes, 2007
L'homme qui faisait parler les choses (postface -
conte-portrait - à Humour blanc et autres fabliettes,
Guillevic), Seghers, 2008
Un jour d'exercice sur la terre, Gros Textes, 2011
Madeleines, récits. Le Petit Pavé, 2011
A également publié dans une cinquantaine de
revues et anthologies.
Yveline Étienne vit et travaille à La Chapelle
Basse Mer près de Nantes.
Parallèlement à son travail de photographe,
elle a créé en 2001 Les Rencontres cinématographiques
de l'Effrontée en partenariat avec le conseil
régional, la Drac des Pays de la Loire et le Rectorat de
l'académie de Nantes. Elle enseigne, entre autres
disciplines, le cinéma et intervient lors de séances
publiques et scolaires dans le cadre de dispositifs
d'éducation à l'image.
En 2011, elle réalise un court-métrage intitulé La
dame blanche. Elle expose à Tanger une série de
19 photographies Latitudes : dialogue de lumières,
et propose dans le cadre de L'art prend l'air - manifestation
artistique organisée par le conseil général de Loire-Atlantique
- une série courte sur le thème Solidaire
et durable. Elle participe au concours d'art contemporain
Trophée Alain Godon, festival du Touquet.
«Mon travail photographique d'un lieu à l'autre,
d'une latitude à l'autre prend son sens dans le
saisissement de la lumière. Il s'agit de capter cette
image luminescente, presque imperceptible, qui
trouble le regard et fait vibrer la pellicule argentique
lors de l'impression du film par la lumière. En
effet, mon choix est celui de l'argentique qui permet
d'éprouver le temps, le mouvement et la lumière qui
sont l'essence de la photographie...»