Fiche technique
Format : Broché
Nb de pages : 348 pages
Poids : 535 g
Dimensions : 16cm X 24cm
ISBN : 978-2-343-19260-4
EAN : 9782343192604
Parti congolais du travail
le jubilé
connaître son parti pour mieux le servir
Quatrième de couverture
Parti Congolais du Travail
Le Parti congolais du travail a cinquante ans. L'auteur nous le fait découvrir à travers les âges et donne, au travers de ce livre, une belle leçon de gratitude. Par son témoignage, il vante les mérites d'un parti politique qui tend à être livré aux gémonies de la part de ceux qui, comme lui, ont tout reçu de ce parti. Un parti politique qui lui a tout donné, qui a encadré ses pas de jeunesse, qui lui a permis d'être au service du plus grand nombre jusqu'à le hisser au rang de membre du Bureau politique.
Mais, au-delà, il rend compte de la lutte que mène son parti pour poursuivre le combat engagé par nos ancêtres : Mabiala ma Nganga, Bouéta Mbongo, Ekaka et bien d'autres. Une lutte acharnée contre le pillage de nos ressources humaines, naturelles et culturelles par ceux qui étaient venus nous enseigner la charité au prix de nos larmes, de notre sueur et de notre sang. Une lutte qui se poursuit aujourd'hui « en cette ère de la mondialisation, où les États et les institutions, engagés dans des politiques de concurrence léonine et de quête de leadership mondial » veulent continuer à affirmer leur hégémonie sur les autres. À visage masqué, ils usent d'euphémismes pour nous soumettre à eux, profitant de nos faiblesses, de nos querelles et de nos divisions.
Ce livre sert aussi d'exhortation aux membres du Parti congolais du travail et particulièrement à la jeunesse, pour avoir accepté d'assumer avec amour, fierté et responsabilité, à titre individuel et collectif, le bilan du PCT. Un bilan pourtant élogieux que refusent d'assumer ceux qui, plus qu'eux, ont bénéficié des privilèges de ce parti, l'ont géré au plus haut niveau et qui s'érigent en donneurs de leçons en mettant à leur actif les succès, rejetant les échecs sur les autres, notamment sur les fidèles et les jeunes nouveaux venus, préférant faire passer leur propre responsabilité et leurs erreurs « au compte des pertes et profits », au compte de l'oubli. L'oubli collectif.