Fiche technique
Format : Broché
Nb de pages : XV-139 pages
Poids : 263 g
Dimensions : 21cm X 21cm
ISBN : 978-2-7056-9687-0
EAN : 9782705696870
Sciences et arts
transversalité des connaissances
Quatrième de couverture
Cet ouvrage se veut à la fois réflexion théorique et pratique pour offrir un regard inédit sur les sciences et les arts afin de décloisonner ces disciplines pour multiplier leurs potentialités. Nous avons voulu (re)donner chair à la matière brute, la matière objective. Cette réflexion arrivera-t-elle à se déployer en d'autres volets pour sensibiliser de nouveaux publics ?
« Artistes, écrivains et scientifiques ont été dépassés, gênés, d'avoir trop longtemps empêché ces liens et ces possibles. Il y a eu cette exposition abattant tous les murs. Étonnante exposition où le visuel, le littéraire et le scientifique ont créé un espace époustouflant d'humanité. »
(Anne Peyrouse, chargée d'enseignement, Département de littérature, théâtre et cinéma, Université Laval)
« L'ouverture à la liberté d'expression de ce partenariat a généré de multiples possibilités d'interprétation ainsi qu'un enrichissement de la culture, de l'expérience pédagogique et de la création dans un contexte de communication visuelle. »
(Sylvie Pouliot, professeure titulaire, et Stéphane Vallée, chargé d'enseignement, École de design, Université Laval)
« Il y a une sorte d'humanité transversale qui a été ressentie. Mes textes touchaient des thématiques humaines de justice sociale et ce langage a trouvé écho chez les artistes préoccupés par des questions sociales. C'est une forme de communication et d'inspiration qui s'est établie par médium interposé. »
(Yves Hallée, professeur agrégé, Département des relations industrielles, Université Laval)
« C'est intéressant de voir que les artistes ré-humanisent les sujets que la recherche scientifique a, en quelque sorte, déshumanisés. En science, on se concentre sur un aspect, une statistique, une caractéristique. Par leur imagination, les artistes ont remis l'individu, l'humain à l'avant-scène. »
(Myriam Michaud, étudiante au doctorat, Département de management, Université Laval)