Rayon Spécialités médicales et pathologies associées
Sclérose en plaques et pollution électromagnétique : la théorie environnementale d'une maladie neurologique

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 351 pages
Poids : 520 g
Dimensions : 16cm X 24cm
ISBN : 978-2-87434-157-1
EAN : 9782874341571

Sclérose en plaques et pollution électromagnétique

la théorie environnementale d'une maladie neurologique


Collection(s) | Résurgence
Paru le
Broché 351 pages
préface par Jean-Marie Danze
Public motivé

Quatrième de couverture

La Sclérose en Plaques a été décrite la première fois, en 1868, par le médecin français Jean-Martin Charcot qui avait, alors, constaté que le stress pouvait déclencher des poussées. Au début du XXe siècle, le rôle du stress a été écarté au profit d'une théorie virale.

Au cours de l'armée 1980 le présumé virus n'ayant pas été découvert, la médecine finit par reconnaître la théorie multifactorielle de la cause de la maladie, formulée en 1967 par le docteur Jean-Pierre Maschi, mettant en jeu un facteur génétique, de prédisposition et un facteur d'environnement, en l'occurrence la pollution électromagnétique.

Dès 1965, ce médecin a été le premier scientifique à avoir pris conscience de cette nouvelle pollution qui, jusqu'à aujourd'hui, n'a pas été reconnue par les spécialistes de la maladie.

En 1968, il a été radié à vie par le Conseil de l'Ordre des Médecins pour «charlatanisme», alors que la thérapeutique qu'il avait mise au point avait amélioré des centaines de sclérosés en plaques. Le traitement consiste en conseils d'hygiène générale pour éviter les agressions électriques et en une hydrothérapie qui permet la décharge, au sol, du corps.

Depuis près de 40 ans, la pollution électromagnétique est reconnue par la Communauté Scientifique et ce terme, inventé par le Docteur Maschi, est entré dans le langage courant et repris dans le Monde entier. Mais en France, les instances officielles n'ont jamais reconnu les effets néfastes de ce nouveau facteur écologique qui ne cesse d'augmenter dans les pays industrialisés.

Les traitements classiques utilisés pour traiter la Sclérose en Plaques soignent les effets et non la cause, toujours inconnue pour les spécialistes. Cependant, le rôle de la pollution électromagnétique dans la Sclérose en Plaques est déjà reconnu par plusieurs chercheurs internationaux.

Les raisons d'un scandale sanitaire sont toujours à chercher du côté de l'argent et au refus de se rendre à l'évidence. Le rôle de cette pollution bouleverse trop les idées sur cette maladie, acceptées depuis très longtemps par la médecine officielle.

À l'heure où l'augmentation du brouillard électromagnétique atteint son paroxysme, on observe, dans les pays industrialisés, des taux de plus en plus élevés d'atteintes du système nerveux, et notamment de cas de Sclérose en Plaques, toujours considérée par le Monde médical comme «la plus mystérieuse des maladies».

Avis des lecteurs

Du même auteur : Jean-Pierre Maschi

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