Rayon Littérature française
Ségou. Vol. 2. La terre en miettes

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 426 pages
Poids : 542 g
Dimensions : 15cm X 24cm
ISBN : 978-2-221-24115-8
EAN : 9782221241158

La terre en miettes


Série | Ségou
Collection(s) | Chemins d'identité
Paru le
Broché 426 pages

Quatrième de couverture

Ségou est un roman si riche et si divers qu'on ne le peut résumer. Il est à la mesure - à la démesure - de ces terres du Sahel qui s'étendent sous un ciel immense. Un grand souffle le parcourt et l'anime : c'est l'âme même de l'Afrique.

Après Les Murailles de terre, nous découvrons dans La Terre en miettes le destin de la deuxième génération des Traoré, de la noble lignée des Bambara, bouleversée par le raz de marée islamiste animé par les Toucouleurs qui ont investi Ségou en 1860. Une famille déchirée entre ses racines, l'islam et, bientôt, le catholicisme. La fatalité s'acharne sur un peuple et une culture, sans que la France du second Empire mesure la gravité des événements.

Cette geste, peuplée d'inoubliables figures de femmes, est tout à la fois un cri d'espoir, un chant d'agonie et un appel à la tolérance.

Biographie

Maryse Condé est née en Guadeloupe. Elle a étudié à Paris avant de partir vivre en Afrique, d'où elle a tiré l'inspiration pour son best-seller : Ségou (1985). Elle a publié plus d'une trentaine de romans, dont Moi, Tituba, sorcière (Grand Prix littéraire de la Femme, 1986), La Vie scélérate (prix de l'Académie française, 1988), Le Coeur à rire et à pleurer (prix Marguerite-Yourcenar, 1999). En 1993, Maryse Condé a été la première femme à recevoir, pour l'ensemble de son oeuvre, le prix Puterbaugh, et, en 2018, elle a été couronnée du prix de Littérature de la Nouvelle Académie (le « Nobel alternatif »).

Avis des lecteurs

Du même auteur : Maryse Condé

Ségou. Vol. 2. La terre en miettes

Ségou. Vol. 1. Les murailles de terre

Moi, Tituba sorcière... : noire de Salem

Rêves amers

Le coeur à rire et à pleurer

La migration des coeurs

Célanire cou-coupé

L'évangile du nouveau monde

Blues en noir et blanc

Moi, Tituba sorcière... : noire de Salem