Rayon Droit privé
Traité des nouveaux droits de la mort : présenté lors du colloque du Mans, 13-14 novembre 2014. Vol. 1. La mort, activité(s) juridique(s)

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 419 pages
Poids : 690 g
Dimensions : 16cm X 24cm
ISBN : 979-10-92684-05-6
EAN : 9791092684056

La mort, activité(s) juridique(s)


Collection(s) | L'unité du droit
Paru le
Broché 419 pages
préface Jean-Pierre Sueur
organisé par les laboratoires juridiques Themis-UM
Cersa
C3RD
l'association Collectif de l'Unité du Droit
Professionnels

Quatrième de couverture

« Il ne suffit (...) pas au jurisconsulte de se préoccuper des vivants » affirme Gabriel Timbal dans l'introduction à sa célèbre (et controversée) thèse sur la condition juridique des morts (1903). Le Droit - ou plutôt les droits - s'intéressent en effet à toutes les activités humaines et sociétales. « L'objet du Droit, c'est l'homme » expliquait déjà en ce sens le doyen Foucart. Il importait donc de s'intéresser de la façon la plus exhaustive possible et ce, à travers le prisme de l'Unité du / des droit(s) à la matérialisation positive du ou des droit(s) relatif(s) à la Mort. A cette fin, les trois porteurs du Traité des nouveaux droits de la Mort ont réuni autour d'eux des juristes publicistes, privatistes et historiens mais aussi des praticiens du funéraire, des médecins, des anthropologues, des sociologues, des économistes, des artistes et des musicologues. Tous ont alors entrepris de présenter non seulement l'état positif des droits (publics et privés) nationaux concernant la Mort, le cadavre et les opérations funéraires mais encore des éléments d'histoire, de droit comparé et même quelques propositions normatives prospectives. Et si l'opus s'intitule Traité des « nouveaux » droits de la Mort, c'est qu'effectivement l'activité funéraire et le phénomène mortel ont subi depuis quelques années des mutations cardinales (statut juridique du cadavre, mort à l'hôpital, tabous persistants et peut-être même amplifiés devant le phénomène, service public des pompes funèbres, activité crématiste, gestion des cimetières, « prix » de la Mort, place et représentation de celle-ci et de nos défunts dans la société, rapports aux religions, professionnalisation du secteur funéraire, etc.). Matériellement, le Traité des nouveaux droits de la Mort se compose de deux Tomes : le premier envisage la Mort et ses « activités juridiques » et le second la Mort et ses « incarnations cadavériques ».

Biographie

Sous la direction scientifique du Professeur Touzeil-Divina, de Mme Bouteille-Brigant et de M. Boudet, sont ici réunis une cinquantaine d'auteurs : juristes mais aussi praticiens funéraires, médecins, sociologues, économistes, historiens et artistes.

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