Rayon Romans historiques
Une enquête de Jean Nédélec. Vol. 2. Il est réservé aux hommes de mourir une seule fois

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 233 pages
Poids : 395 g
Dimensions : 16cm X 24cm
ISBN : 979-10-353-1968-7
EAN : 9791035319687

Il est réservé aux hommes de mourir une seule fois


Collection(s) | Roman historique
Paru le
Broché 233 pages

Quatrième de couverture

Il est Réservé aux hommes de mourir une seule fois

Une enquête de Jean Nédélec

Le 21 février 1679, David Guivarc'h, le respectable curé de Locunolé, village paisible de l'évêché de Cornouaille en Bretagne, meurt dans d'étranges circonstances. Des rumeurs colportent que, ce soir-là, il n'était pas seul. La panique s'empare des villageois. La bête immonde serait-elle sortie de sa retraite des Roches du Diable pour se venger ? Chargé de l'enquête, le jeune policier de Quimperlé, Jean Nédélec, conclut à une mort naturelle.

Au même moment, à Paris, Gabriel-Nicolas de La Reynie,. le redoutable et énergique lieutenant-général de police, organise un vaste coup de filet dans les milieux satanistes des faubourgs parisiens. Des interrogatoires et des aveux, obtenus sous la torture, révèlent que le roi est menacé.

Jean Nédélec va devoir enquêter sur une série de crimes sur fond d'affaire d'État, de croyances, de superstitions et de luttes de pouvoir.

Biographie

Pierre Martin est né à Quimper en 1969. Docteur en histoire moderne, il enseigne à l'Université de Bretagne Occidentale à Quimper et à Brest. Spécialiste d'histoire maritime, ses recherches universitaires portent sur l'histoire des estuaires et des littoraux du XVIe au XVIIIe siècle.
Auteur de nombreux ouvrages historiques, ce fin connaisseur des sources de l'histoire de la Bretagne signe ici son second roman historique.
Féru d'histoire sociale, il a créé le personnage de Jean Nédélec, un colporteur instruit devenu enquêteur de police sous le règne de Louis XIV. Les aventures de ce jeune breton attachant et non moins perspicace nous plongent dans l'univers troublé de la Bretagne à la fin du XVIIe siècle.

Avis des lecteurs

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