Rayon Philosophie, théorie et enseignement
Une philosophie pour la physique quantique : essai sur la non-séparabilité et la cosmologie de A.N. Whitehead

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 361 pages
Poids : 450 g
Dimensions : 14cm X 22cm
EAN : 9782747597821

Une philosophie pour la physique quantique

essai sur la non-séparabilité et la cosmologie de A.N. Whitehead


Collection(s) | Les acteurs de la science
Paru le
Broché 361 pages
préface Anne Fagot-Largeault et Bertrand Saint-Sernin
Public motivé

Quatrième de couverture

Une réflexion générale sur la relativité et la physique quantique conduit à s'interroger sur la représentation du monde physique à laquelle peut prétendre notre connaissance. La «non-séparabilité» de deux particules corrélées, implicitement prédite par les équations de Heisenberg et de Schrödinger (1925 et 1926), a été mise en évidence par les expériences d'Alain Aspect (1982) et de Nicolas Gisin (1997). Elle est le phénomène le plus porteur de sens nouveau. L'épistémologie quantique s'en trouve confortée et rend obsolète la «vision du monde» issue de la physique newtonienne. Il faut donc une nouvelle métaphysique.

La cosmologie d'Alfred North Whitehead (1861-1947), mathématicien de réputation internationale, élaborée entre 1920 et 1930 et enseignée à Harvard de 1924 à 1947, tient compte des découvertes scientifiques de son époque et manifeste encore une surprenante pertinence. Elle doit pourtant être complétée en introduisant dans son schème catégoriel les derniers développements de la physique quantique : le principe de superposition et celui d'enchevêtrement.

Le présent ouvrage s'efforce d'actualiser la cosmologie de Whitehead et d'en faire une métaphysique pour notre temps.

Biographie

Marc de Lacoste Lareymondie est physicien. Après dix ans de recherches au laboratoire de physique atomique du Collège de France et au Commissariat à l'énergie atomique, il a poursuivi sa carrière dans l'industrie nucléaire. Puis il a repris l'étude de la philosophie des sciences et a soutenu une thèse en Sorbonne en 2004.

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