Vers le silence

Sur la poétique de Max Pons

« Poésie-fulguration. Le verbe fonctionne d'une façon désemparante. Une poésie, en somme, qui hante. »
Éric °Sellin (U.S.A.)

« Une concentration du langage qui ne se ferme pas cependant mais s'ouvre à d'autres éléments, à d'autres espaces. »
André Miguel (Belgique)

« Concision, clarté et profondeur. »
Gyula Illyes (Hongrie)

« Concision, langue juste, percée vers ce qui ne peut être dit que par un poète. »
René Ménard

« Une poésie à hauteur d'homme. »
Bernard Mazo

« Brefs, petits poèmes, coups de ciseaux dans la pierre géante de l'écriture... Max Pons tente de sculpter le temps avec les mots. »
Joseph Reis (Europe)

« J'ai beaucoup aimé Calcaire, poème très beau, très pur, qui aurait enchanté le cher Roger Caillois. »
Pierre Gascar

« Ces poèmes valent et s'ordonnent au coeur du silence. J'en ai aimé le ton et la carrure. »
Jean Follain

« Une sévère économie du langage qui établit au plus juste le profil d'une pensée poétique. Ce qui apparente Max Pons à René Char et Guillevic. Une conclusion philosophique et métaphysique est toujours le fruit de ses approches instinctives. »
Jean Rousselot (Les Nouvelles littéraires)

« Le temps, l'éternité, l'inquiétude et les rêves des hommes se lisent aussi dans la pierre. Apaisante leçon (peut-être) que la patience d'un Max Pons, au château de Bonaguil, nous aide à découvrir. »
Serge Brindeau (Anthologie de la poésie contemporaine)

La Barbacane