Vivre à l'île Maurice

Née à Paris, Geneviève Dormann est journaliste au Figaro, biographe et romancière. Elle a écrit de nombreux ouvrages dont Le Bal du Dodo, paru aux éditions Albin Michel en mai 1989 pour lequel elle a reçu le Grand Prix du Roman de l'Académie française. Elle est vice-consul du royaume de Patagonie à l'île d'Yeu. Elle aime le rugby, la mer, et surtout l'île Maurice où elle se rend plusieurs fois par an depuis plus de quinze ans.

Né en 1947 à Dole, Christian Vaisse a vécu à Madagascar de 1950 à 1974, puis s'est installé à l'île de La Réunion. Spécialiste de l'océan Indien, il a publié en 1987 un livre sur l'architecture traditionnelle de La Réunion, Cases cachées, aux Editions du Pacifique, paru en France sous le titre L'Art de vivre à La Réunion, chez Flammarion. Ses photos sont diffusées par l'agence Hoa Qui.

Christian Saglio est né à Paris et a vécu à l'île Maurice de 1985 à 1989. Anthropologue et diplomate, il a habité et restauré plusieurs des maisons qui illustrent ce livre et s'est intéressé à la sauvegarde du patrimoine mauricien. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages sur l'Afrique et sur l'économie.

Isabelle Desvaux de Marigny quitte son île natale en 1976 pour Londres afin d'obtenir le diplôme d'architecture intérieure de la Chelsea School of Art. C'est au cours de ses vacances qu'elle découvre l'architecture de son île d'un œil nouveau, ce qui l'encourage à entreprendre des recherches qui lui permettront d'écrire une thèse sur ce sujet. De retour au pays en 1986, elle se consacre à une exposition sur l'architecture traditionnelle mauricienne, organisée par le Centre Culturel Charles Baudelaire d'avril à octobre 1987.

Né à l'île Maurice, Jean-François Koenig est architecte : il a travaillé pour divers cabinets en Europe et en Afrique australe. Il est maintenant installé à l'île Maurice et s'efforce de préserver l'architecture traditionnelle mauricienne en l'intégrant dans l'architecture moderne.

Elevée en Grande-Bretagne, Henriette Valentin Lagesse est architecte et se passionne très tôt pour l'architecture mauricienne sur les traces de son père qui fut le premier à présenter une thèse sur ce sujet. Etudiante en architecture, elle reçoit une bourse en 1985, ce qui lui permet de revenir à l'île Maurice afin de préparer sa thèse pour obtenir son diplôme de l'université de Cambridge.