Fiche technique
Format : Broché
Nb de pages : 195 pages
Poids : 320 g
Dimensions : 14cm X 19cm
ISBN : 978-2-7427-9534-5
EAN : 9782742795345
Voyage dans l'anthropocène
cette nouvelle ère dont nous sommes les héros
Les libraires en parlent
Ce livre passionnant relate le parcours du glaciologue Claude Lorius dont les recherches dans l'Antarctique sont à la base de la compréhension de l'influence de l'homme sur le climat.
Où l'on apprend que l'homme est devenu la principale force géologique de la planète et que l'accélération de la dégradation de l'environnement au cours de ces 200 dernières années amène Claude Lorius à proposer la création d'une nouvelle ère géologique : l'anthropocène.
Où l'on comprend la nécessité d'un sursaut pour ne pas aller dans le mur "en espérant avec Edgar Morin "une métamorphose"".
Quatrième de couverture
Qui transforme aujourd'hui l'atmosphère au point d'en dérégler le climat ? L'homme. Qui charrie plus de terre que tous les fleuves réunis ? L'homme. Qui acidifie les océans ? L'homme. Qui est en train de détruire les espèces vivantes qui constituent notre biosphère ? L'homme. C'est en cherchant à percer les mystères du réchauffement planétaire que les climatologues ont découvert une information essentielle : l'être humain est devenu la principale force géologique sur la planète. Et les stratigraphes d'aujourd'hui se réunissent pour déterminer comment traiter cette nouvelle ère dont la brièveté est justement la caractéristique. Car l'Anthropocène est avant tout cela : l'histoire d'une formidable accélération qui nous questionne aujourd'hui sur notre rôle : serons-nous les gardiens de la Terre ou les spectateurs impuissants de notre toute-puissance ? Ce livre est le voyage d'un glaciologue, Claude Lorius, pionnier des recherches sur le climat et lauréat du Blue Planet Prize (l'équivalent du Nobel pour les questions écologistes), et d'un journaliste, Laurent Carpentier, écrivain et spécialiste de questions environnementales, aux confins de cette nouvelle ère, dont nous sommes les héros. Là où tout finit ? Non, là où tout commence.